« La travailleuse » évoque les difficultés économiques et la précarité associées à l’immigration. Ainsi, la pièce est fragile. Elle se compose d’une lampe et d’une travailleuse. La lampe est marquée par un geste théâtral et continu en broderie de façon à couvrir entièrement le circuit électrique de la prise à l’ampoule.
Elle aussi est issue d’une rencontre avec l’ébéniste contemporain Hubert Kerléo qui, récemment, est parti en balade en forêt près de son atelier pour récupérer du bois naturel afin de tester la structure en bois naturel.
En parallèle, Jennyfer et Philip avancent ensemble sur l’aspect innovant qu’est l’usage de la broderie dans la confection d’une lampe. Une fois dépassées les contraintes techniques, nous avons couvert l’ensemble du circuit électrique en broderie, intégrant ainsi les circuits dans l’esthétisme de la structure. Nous sommes aujourd’hui sur les finitions.
Nous sommes 6 jours avant la fin de notre collecte ……………….